Toute nouvelle carte des 26 galeries d’art lilloises, à imprimer librement, divisée en 3 secteurs: Beaux-arts et Euralille, Vieux-Lille, et Wazemmes.

 

Guide 2012 galeries d'art Lille

 

 

     Les erreurs ne sont pas impossibles, mais c’est certainement la liste la plus actuelle et la plus complète de toutes celles qu’on peut trouver sur le web – et ailleurs. Les critères d’inclusion de galeries sur la liste sont aussi neutres que possible, mais là aussi ils pourront sembler très subjectifs à beaucoup.

 

Critères d’inclusion:

•      Galeries d’art au sens strict (lieux – réels et permanents – de vente au grand public de créations d’art uniques ou en série limitée).

•       Si autres activités (encadrement, location, conseil en communi-cation…), l’activité de galerie traditionnelle doit être indéniablement prédominante et les autres activités totalement accessoires.

•       Autres activités qui ne sont pas celles d’une galerie d’art : un vendeur d’objets ou de mobilier non contemporains est un antiquaire, pas un galeriste. Un magasin d’objets ou de mobilier contemporains qui ne sont pas des pièces uniques ou des séries limitées est un magasin de déco, pas une galerie d’art.

 

pdf guide galeries art lilleTélécharger :
Le Guide 2012 des galeries d’art à Lille
(3 pages, 3.5 Mo)

 
 

 

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    2 Commentaires

  1.      filou

    Venu de Marseille, cela fait un an que je suis arrivé à Lille et je reste vraiment sur ma fin.
    Tout ça pour dire qu’il n’y a pas vraiment de galerie d’art contemporain sur Lille…

    Soit on a faire a des commerçants, c’est à dire de l’art qui est de la valeur sûre adaptée au marché bourgeois lillois (donc c’est vraiment pas terrible comme niveau). Ces gens ne sont même pas des marchands d’arts et ne prennent plus le risque de parier sur de jeunes créateurs. Il n’y a selon moi que la galerie de cédric bacqueville qui s’en sort correctement en proposant des oeuvres dans l’air du temps, mais bon cela reste encore une fois adapté au marché local donc pas de grosses prises de risque malgré tout.

    Soit on a droit à un mélange d’atelier galerie show room pour jeunes ou vieux « artisans » qui n’apportent rien à l’art ou art contemporain si ce n’est lui faire du tord en se faisant appelé art ou art contemporain. Le pire de tous étant l’espèce de bordel grossier sorti des squats qui trône dans l’ombre du centre commercial Euralille…
    Minable…

    Aucune de ces galeries ne proposent d’installations, de performances, de vidéos, d’expositions collectives judicieuses…
    Personne n’ose prendre de risques, c’est incompréhensible, on dirait qu’il ne se passe rien en matière de création à Lille ??? Et pourtant je suis sur du contraire…

    Bref, si Marseille a une politique culturelle de merde et un public plutôt restreint, en revanche il y a un réseau de galeries beaucoup plus intéressant qu’à Lille.

    Alors, je ne sais pas, il y a surement plein de choses dans le coin, en belgique, peut être même à Roubaix, voire à Tourcoing, mais les infos sont dures à trouver…


    •      Eric Bourdon

      Bonjour et bienvenue. Vous avez raison, il y a un problème typiquement lillois. On dit assez que Lille est au croisement de plusieurs villes-phares artistiquement, comme :
      Bruxelles : plus de 200 galeries d’art; Paris : plus de 1100 galeries ; Amsterdam : 200 minimum; Londres : plus de 700 galeries d’art. Et Lille… moins de 30… Le plan était vite fait!

      Marseille est vraiment à envier de ne pas subir de politique culturelle, celle de Lille est asphyxiante au possible pour les acteurs privés, privés au sens propre du minimum vital de visibilité, jusque sur les panneaux d’affichage gratuits comme payants, recouverts 3 fois par jour d’affiches pour des expos d’Etat à fonds illimités. Gérer n’importe quelle galerie d’art à Lille relève de l’héroïsme, que ce soit de l’art contemporain ou non.

      Les galeries sont donc contraintes à vendre uniquement des valeurs sûres, à se replier et à prendre le minimum de risques possibles, et l’art contemporain est le premier sacrifié. Quant aux installations, performances et vidéos, l’art très contemporain, aucune chance en effet d’en trouver dans des galeries. Comme dirait Laspalès, “Il y en a qui ont essayé… Ils ont eu des problèmes!” Paradoxalement, ce n’est que dans des espaces publics que vous en verrez, ce qui permettra à l’Etat de justifier son ‘action’ (peu culturelle mais très politique), et la boucle est bouclée…

      Alors dans un paysage artistique aussi sclérosé, ça ne rend que plus essentiel encore de développer réellement, en galerie, l’art contemporain, ou d’en montrer le meilleur…





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