Eric Bourdon - Blog
Naos Art Vicat Symphonica en zo majeur

Zoom sur la peinture

Naos Art Vicat Symphonica en zo majeur avec accompagnement en ga mineur au piano-bar sans piano par un lapin à queue de pie sur une partition d’essence monothématique à laquelle humeurs et tempos changeants donnent une allure rhapsodique au parfum tropical.
(Titre complet)

Peinture acrylique originale sur toile de lin
Dimensions de l’œuvre : 65 x 46 cm

© Galerie du peintre Eric Bourdon
Lille, 2021

     La peinture acrylique sur toile d’Eric Bourdon intitulée « Naos Art Vicat Symphonica en zo majeur » exprime l’ineffable qui doit absolument trouver à s’exprimer dans un medium ou un autre et qui ne le peut, de fait, que dans l’art, étant établi que faire de la métaphysique, de l’éthique et de l’esthétique dans le langage ordinaire ne produit que des non-sens.

     L’impression que nous donne une peinture comme « Naos Art Vicat Symphonica en zo majeur avec accompagnement en ga mineur au piano-bar sans piano par un lapin à queue de pie sur une partition d’essence monothématique à laquelle humeurs et tempos changeants donnent une allure rhapsodique au parfum tropical » – tout comme un certain vers ou une certaine mesure en musique – d’être indescriptible, ou l’impression que je n’arrive pas à décrire ou à formuler « ce que me dit » une œuvre, une composition musicale, la contemplation d’un tableau, l’arôme du café, sont des situations où nous pouvons éprouver le sentiment que nous n’arrivons pas à décrire notre vécu, s’agissant cette fois-ci d’un vécu aussi spécifique qu’une impression esthétique. « L’on a tendance », écrivait le logicien Ludwig Wittgenstein, « à devenir fondamentalement insatisfaits du langage ».

   Naos Art Vicat Symphonica in Zo major